tii'pawarisawew
Rite funéraire des Pawakaenkie'ii
Funeral
Retour vers la Mère
Célébrant le départ de leur proche, le clan se rassemblera et consommera leur défunt, à l'exception de ses enfants. Ils découperont le corps avec soin. Le coeur, sera remis à la mère, si elle est encore vivante, ou à la soeur ainée. Les poumons seront remis au père ou au frère ainé. L'organe reproducteur sera remi au conjoint. Les instestins, les cheveux, les os, la peau seront conserver à des fins d'idoles. Le cerveau sera utilisé pour tanné la peau. L'estomac, le pancréas et le foie seront enterrés afin de nourrirent la terre. Les muscles seront consommés par l'ensemble du clan, une fois cuits au dessus du feu d'épinette et de genévrier.
Dans la consommation de leur morts, les Pawakaenkie'ii acquièrent le savoir, la connaissance et la force de ce denier. Comme ils ne se considèrent pas plus important que n'importe quel animal, ils n'ont pas de gêne ou de honte à manger l'un des leur.
Le défunt aura un collier de plume de hibou et de perles d'ambre en accordance à son transport dans l'au-delas par Atuk'notnaa sikwis .
L' eshaemane entamera les chants rituels, accomapagnés par les tambours et les flutes d'os. Elle dansera autour du corps du défunt entrainant la fumée dans son sillage, embaumant l'air d'épinettes et de genévrier. Lorsque l'air devient saturé, elle procède à ouvrir la cavité toracique en récitant les prières. Les chants sont repris par le clan et les tambours s'intensifient.
Elle retire d'abord le coeur, qu'elle met à cuire sur une pierre de granite, puis les poumons. Elle retire les organes reproducteurs et les mets à cuire avec le coeur et les poumons. Elle retire les instestins, l'estomac, le foie, le reste des organes les mets à bruler.
Alors que les chants entreprennent le seconde prière. L' eshaemane entreprent de dépecer le défunt. Elle laisse les mains et les pieds, qui seront cuits dans sur le feu et consommés comme tel. Elle retire la peau du défunt et la plie avec soin sur une peau d'orignal peinte. Elle sera traité le lendemain et remis à la fille ainée dans le cas d'une femme et au fils ainé dans le cas d'un homme. Si le défunt n'est pas survécu par aucun de ses enfants ou n'a aucune descendance, sa peau sera remis à ses parents.
Les muscles seront cuits, puis partagé au sein du groupe. Ils les consommeront à la fin des chants. Les os seront nettoyer et remis à la famille en fonction de leur symbolisme. Une fois le corps consommé, les chant cessent et un silence est observé, laissant l'esprit du défunt entré en leur corps et retourner à la Manikaw'opii.
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